L’industrie pétrolière et gazière du Canada prend au sérieux la responsabilité qui lui incombe d’effectuer la fracturation de sorte à protéger la qualité et la quantité de l’eau douce.
Selon les données scientifiques, il n’a jamais eu de contamination d’eau dans une zone de fracturation au Canada. Ceci est partiellement dû à la grande distance verticale qui sépare les nappes phréatiques d’eau douce, situées au-dessus, de la zone cible où on effectue la fracturation, au-dessous. Le fracking s’effectue généralement entre 1,5 et 4 kilomètres sous la surface. Les aquifères d’eau potable se trouvent généralement à moins de 600 mètres sous la surface.
En outre, le puits, soit le trou foré de la surface à la formation ciblée, est soigneusement construit avec de multiples couches protectrices de tubage en acier lourd et de ciment pour s’assurer que le fluide de fracturation ne migre pas au-delà du puits lors de son trajet vers la zone de fracturation, et que le pétrole, le gaz, les fluides ou les eaux usées ne migrent pas en remontant.
Chaque aspect du puits et de ses matériaux de construction est pris en compte selon des facteurs techniques. Les organismes de réglementation établissent des lignes directrices strictes en matière de construction de puits en vue de protéger le milieu environnant, particulièrement les aquifères d’eau douce. Ces lignes directrices sont aussi rigoureuses que celles exigées pour construire un gratte-ciel.
Source : Questerre Energy
Les puits sont construits avec plusieurs couches de tubage en acier et de ciment pour s’assurer que les fluides qui s’écoulent à l’intérieur ne peuvent pas migrer à l’extérieur
Source : Questerre Energy